Stan Douglas, ISDN (détail), 2022, image fixe de l’installation vidéo à deux canaux. © Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas : 2011 ≠ 1848
Artiste contemporain parmi les plus reconnus au Canada, dont l’œuvre multidisciplinaire comprend des films, des photos et, plus récemment, des productions théâtrales, Stan Douglas a continuellement réinventé la photographie et les installations cinématographiques et de vidéos multicanaux. Présentée à l’origine pendant la 59e Biennale de Venise en 2022, l’exposition Stan Douglas : 2011 ≠ 1848 tisse un lien entre les événements de 2011 et ceux de 1848, une année au cours de laquelle les classes moyennes et ouvrières européennes se sont alliées pour lutter contre le manque de libertés démocratiques, les restrictions imposées à la presse et la domination continue d’une élite aristocratique.
Installée dans deux lieux distincts à la Biennale, Stan Douglas : 2011 ≠ 1848 a été combinée en une seule dans le cadre de sa tournée pancanadienne. Après sa présence remarquée à la Polygon Gallery de Vancouver et à la Remai Modern de Saskatoon, l’exposition sera accueillie au Musée des beaux-arts du Canada.
Cette exposition est présentée dans le cadre d’un partenariat entre le Musée des beaux-arts du Canada, la Remai Modern et la Polygon Gallery.
Date
Emplacement
Salles d’art contemporain B107, B108
En partenariat avec
Le Catalogue
Ce superbe catalogue illustré de 288 pages, publié en anglais, français et arabe, regroupe quelque 100 images pleine couleur qui saisissent méticuleusement les détails de scènes en coulisses des productions élaborées de Douglas. Des essais de la plume de penseurs internationaux de la culture examinent le travail de l’artiste en relation avec la musique, l’économie politique, la théorie contemporaine des médias et l’ascension de Grime et Mahraganat.
Disponible à la Boutique du Musée ainsi qu’en ligne à AchatsMBAC.ca.
Œuvres
Stan Douglas, London, 9 August 2011 (Pembury Estate), de la série 2011 ≠ 1848, 2017. Impression chromogène sur Dibond, 150 × 300 cm. © Stan Douglas. Courtoisie de l’artiste, Victoria Miro, Londres et Venise, et David Zwirner, New York, London, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, London, 9 August 2011 (Pembury Estate), de la série 2011 ≠ 1848, 2017. Impression chromogène sur Dibond, 150 × 300 cm. © Stan Douglas. Courtoisie de l’artiste, Victoria Miro, Londres et Venise, et David Zwirner, New York, London, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, ISDN, 2022, image fixe de l’installation vidéo à deux canaux. Le Caire : Joker. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, ISDN, 2022, image fixe de l’installation vidéo à deux canaux. Le Caire : Joker. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, ISDN, 2022, image fixe de l’installation vidéo à deux canaux. Londres : TrueMendous. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, ISDN, 2022, image fixe de l’installation vidéo à deux canaux. Londres : TrueMendous. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, New York, 1 October 2011, de la série 2011 ≠ 1848, 2021, épreuve à développement chromogène sur Dibond, 150 × 300 cm. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, New York, 1 October 2011, de la série 2011 ≠ 1848, 2021, épreuve à développement chromogène sur Dibond, 150 × 300 cm. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, Tunis, 23 janvier 2011, de la série 2011 ≠ 1848, 2021, épreuve à développement chromogène sur Dibond, 150 × 300 cm. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, Tunis, 23 janvier 2011, de la série 2011 ≠ 1848, 2021, épreuve à développement chromogène sur Dibond, 150 × 300 cm. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, ISDN, 2022, image fixe de l’installation vidéo à deux canaux. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, ISDN, 2022, image fixe de l’installation vidéo à deux canaux. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, Vancouver, 15 juin 2011, de la série 2011 ≠ 1848, 2021, épreuve à développement chromogène sur Dibond, 150 × 300 cm. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, Vancouver, 15 juin 2011, de la série 2011 ≠ 1848, 2021, épreuve à développement chromogène sur Dibond, 150 × 300 cm. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, ISDN, 2022, image fixe de l’installation vidéo à deux canaux. Le Caire : Raptor. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, ISDN, 2022, image fixe de l’installation vidéo à deux canaux. Le Caire : Raptor. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, ISDN, 2022, image fixe de l’installation vidéo à deux canaux. Londres : Lady Sanity. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
Stan Douglas, ISDN, 2022, image fixe de l’installation vidéo à deux canaux. Londres : Lady Sanity. ©Stan Douglas. Avec l’autorisation de l’artiste, de Victoria Miro, Londres et Venise, et de David Zwirner, New York, Londres, Paris et Hong Kong
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