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Prix Sobey pour les arts – Ontario

Photo : Merik Goma
Azza El Siddique
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Azza El Siddique est titulaire d’une maîtrise en beaux-arts de la Yale School of Art (2019) et d’un baccalauréat dans le même domaine de l’Université de l’ÉADO (2014). Elle a été en 2019 artiste en résidence à la Skowhegan School of Painting and Sculpture.
Parmi ses expositions individuelles précédentes, notons fire is love, water is sorrow — a distant fire (avec Teto El Siddique) à la Towards Gallery à Toronto, Begin in smoke, end in ashes à la Helena Anrather Gallery à New York et Concave Conflux Convex à l’Harbourfront Centre, également à Toronto. Son travail a aussi été présenté lors d’expositions collectives au MOCA Toronto, au Gardiner Museum, aussi dans la ville reine, et à la Shin Gallery de New York.
En juin 2022, El Siddique inaugurera une exposition solo au MIT List Visual Arts Center à Cambridge, au Massachusetts.
Azza El Siddique, Fade into the Sun [Fondu au soleil], 2021. Acier, acier déployé, eau, lait de kaolin cru, argile à glaçure cuite à la bisque, peinture émail au pistolet, système d’irrigation goutte-à-goutte, lampes chauffantes, bakhour, huile de santal, 7,62 x 7,62 x 3,05 m. © Azza El Siddique. Vue d'installation à MOCA, Toronto. Photo : Toni Hafkenscheid

Photo : Amir Endalah
Ghazaleh Avarzamani
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Ghazaleh Avarzamani est une artiste multidisciplinaire qui s’intéresse particulièrement aux structures de pouvoir dominantes. À travers la mobilisation d’une variété d’espaces et de méthodologies pour l’interactivité et l’activité ludique, elle explore des idées antagonistes quant aux finalités de l’éducation. Sa démarche passe notamment par la réflexion sur les jeux et les objectifs éducatifs qu’ils sous-tendent.
Dans son œuvre, elle sonde les mécanismes de construction des récits historiques officiels et les hiérarchies derrière les « voix d’autorité ». Elle crée des narrations visuelles qui sont à la fois des déconstructions et des reconstructions du temps (l’histoire) et de l’espace (la géographie).
Avarzamani a été diplômée du Central Saint Martins à Londres en 2013. Elle a exposé au MOCA Toronto, à l’Aga Khan Museum, dans la même ville, au Vestfossen Kunstlaboratorium Museum en Norvège et dans de nombreuses autres institutions.
Ghazaleh Avarzamani, Mashrabiya, 2021. Aluminium, dimensions variables. Collection particulière Castlepoint Numa. © Ghazaleh Avarzamani. Photo : Toni Hafkenscheid, avec l’autorisation du MOCA Toronto, de l’ArtworxTO
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Ghazaleh Avarzamani, Romance of Many Dimensions [Romance aux multiples dimensions], 2019. Nacelle en osier, bois, dimensions variables. © Ghazaleh Avarzamani. Photo : Kyle Berger – Jean Michael Seminaro

Photo : gracieuseté de l'artiste
Stephanie Temma Hier
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La pratique artistique de Stephanie Temma Hier évolue au confluent de la peinture à l’huile et de la sculpture en céramique. On trouve parmi ses œuvres des peintures figuratives minutieuses (dont nombre présentent des scènes de corps humains, de produits consommables et de détritus) nichées dans des sculptures en grès faites main, évoquant les aspects à la fois agréables et répugnants de la consommation.
Hier a étudié à l’Université de l’ÉADO et à l’Academy of Art Canada. Son travail a été présenté dans le cadre d’expositions individuelles chez Bradley Ertaskiran à Montréal, à la Nino Meier Gallery à Los Angeles, à la Franz Kaka à Toronto et à la Gallery Vacancy à Shanghai. L’artiste a également participé à des expositions collectives à la Power Plant et au Musée des beaux-arts de l’Ontario à Toronto, ainsi que dans différentes institutions internationales.

Photo : Solana Cain
Timothy Yanick Hunter
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Timothy Yanick Hunter est artiste pluridisciplinaire et commissaire. Dans sa pratique, il a recours à des stratégies de bricolage pour étudier des relations non neutres en lien avec des expériences noires et afrodiasporiques, ainsi qu’à des stratégies concomitantes de décolonisation. Hunter a obtenu son baccalauréat en arts de la University of Toronto et a été artiste en résidence au Musée des beaux-arts de l’Ontario et aux PADA Studios, au Portugal.
Il participe à la Biennale d’art de Toronto 2022 et a exposé son travail, entre autres, à la Cooper Cole, la Gallery 44 et l’A Space Gallery, toutes à Toronto, au 92Y à New York, à l’Art Gallery of Guelph et aux PADA Studios à Barreiro, au Portugal.
Timothy Yannick Hunter, Basic Instructions for Leaving Everything [Instructions de base pour tout quitter], 2020. Vidéo, dimensions variables. © Timothy Yannick Hunter. Photo : avec l’autorisation de l’artiste
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Timothy Yannick Hunter, Untitled (Loop 3) [Sans titre (Boucle 3)], 2021. Acrylique, épreuve sur transparent, marbre, saponite, dimensions variables. © Timothy Yannick Hunter. Photo : avec l’autorisation de l’artiste et de la Cooper Cole, Toronto

Photo : Sarah Bodri
Laurie Kang
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Laurie Kang a exposé dans de nombreux musées et galeries de par le monde, dont le New Museum, le SculptureCenter, la Helena Anrather Gallery, l’Interstate Projects et la CUE Art Foundation, tous à New York; les Oakville Galleries à Oakville, en Ontario; la Power Plant, la Franz Kaka, la Cooper Cole et la Gallery TPW, toutes à Toronto; le Remai Modern à Saskatoon; la Galerie Antoine Ertaskiran et le Projet Pangée à Montréal; la Galeria Raster à Varsovie, en Pologne; et la Camera Austria à Graz.
Elle a également été artiste en résidence au Rupert à Vilnius, en Lituanie; au Tag Team Studio à Bergen, en Norvège; au Banff Centre for Arts and Creativity en Alberta; et aux Triangle Studios et Interstate Projects, à Brooklyn. En 2022, elle a été la première artiste en résidence à la Horizon Art Foundation à Los Angeles. Elle est titulaire d’une maîtrise en beaux-arts de la Milton Avery Graduate School of the Arts du Bard College, à New York.
Laurie Kang, Great Shuttle [Grande navette], 2021. Rail flexible, goujons en acier, câble d’aviation, quincaillerie, film photographique non fixé et continuellement sensible, photogrammes, aimants sphériques, silicone, fil, anchois en aluminium coulé, racine de lotus, feuille de pérille, feuille de chou, 9,14 x 3,05 x 0,91 m. © Laurie Kang. Vue d’installation à la “2021 Triennial : Soft Water, Hard Stone, New Museum”, New York. Photo : Sebastian Bach