Le théâtre de l'Old Bedford: Cupidon au poulailler

La principale source de cette provenance est la publication de Wendy Baron, Sickert : Paintings and Drawings, New Haven, Yale University Press, 2006, n^o de cat. 278. Les exceptions et autres documents à l’appui sont indiqués.

[1] Selon Wendy Baron, l’œuvre fait peut-être partie de l’exposition, Société Nouvelle des Peintres et Sculpteurs, en février 1903 chez Durand-Ruel. Dans le catalogue, le peintre Lucien Simon est mentionné comme prêteur.

[2] L’avocat Arthur Clifton est connu pour avoir défendu Oscar Wilde, avant d’ouvrir la Carfax Gallery en 1898.

[3] Madeline Clifton est l’adjointe de Sickert dans son école d’art de la Rowlandson House de Londres avant d’épouser Arthur Clifton. Le tableau fait partie d’une exposition chez Agnew en 1933 [Retrospective Exhibition of Pictures by W.R. Sickert, n^o de cat. 3, sous le titre « The New Bedford »]. Dans le catalogue, Mme Clifton est mentionnée comme propriétaire.

[4] Voir note [5]. On ne sait pas si le marchand d’art londonien, Tooth & Sons, possède le tableau ou s’il agit à titre d’agent de Mme Clifton.

[5] Dans une lettre datée du 3 avril 1939, sir Vincent Massey, le 18^e gouverneur général du Canada, informe S.G. Randall de la National Trust Company qu’il vient tout juste d’acheter le tableau de Tooth & Sons de Londres pour 500 £. Il note que la Fondation Massey a fait l’acquisition du tableau avec l’intention de l’offrir au Musée des beaux-arts du Canada [dossiers de la famille Massey, Archives de l’Université de Toronto, réf. B1987-0082 1250 (04)].

[6] Registre d’acquisition [dossier de documentation du MBAC].