Dans « Opéra », comme l’indique le titre, le site industriel se présente comme un décor de théâtre et d’opéra avec des interprètes mécaniques aux proportions imposantes. Les structures industrielles doivent leur anthropomorphisme tant au titre du tableau qu’à leur ressemblance avec le corps humain. Dans « La cité invisible », de nombreuses formes circulaires sur de longues tiges oscillantes évoquent comme par magie l’une des villes oniriques de l’écrivain italien Italo Calvino. Peut-être cette métropole imaginaire appartient-elle à un avenir postindustriel où l’architecture s’inspire de la végétation et des réseaux.