John Greer a renouvelé sa pratique sculpturale en Italie, en 1986, lorsqu’il a choisi de revenir aux techniques et aux matériaux traditionnels sans renier son engagement aux idéaux de l’Art conceptuel.
En 1975 le Musée des beaux-arts du Canada a fait œuvre de pionnier en associant l’artiste et le conservateur à tous les aspects de l’exposition qu’il a consacrée à l’artiste américain Donald Judd.
Il faut de multiples couches pour créer une grande toil. Il arrive qu’on découvre la volonté et la méthode d’un artiste en observant ce qu’il y a sous la surface.
Véritable allégorie du chagrin, Autoportrait frontal de Käthe Kollwitz est une image dure et obsédante qui condense parfaitement la profondeur des émotions qui imprègnent le travail de cette artiste.
Dans « Grey Paintings », Julie Mehretu a réinventé sa pratique artistique pour créer une œuvre abstraite qui fonctionne au sein des complexités et des multiplicités de l’histoire, la politique et l’art.
Pionnier de la scène artistique de Vancouver dans les années 1960, Michael Morris est reconnu pour sa pratique collaborative. Une acquisition récente représente ses premières expérimentations avec le Plexiglas.
Sur le thème de l’amour, l’artiste britannique Paul Sandby intègre des études de personnages dans la nature et fait la preuve de son habileté comme graveur novateur.
Photographe amateur passionnée, Lady Aberdeen réalise un livre photo commémoratif empreint d’émotion sur la vie de son fils, faisant ainsi passer des images familiales privées dans la sphère publique.
Photographe de rue, Levinstein a consacré la majeure partie de son temps libre à arpenter New York où il est passé maître dans l’art de capturer, en caméra cachée, le quotidien des habitants.
Dans la salle B204 du Musée des beaux-arts du Canada est actuellement présentée une sélection d’œuvres contemporaines acquises par le directeur Marc Mayer.