À compter des années 1860, la capitale du Canada est devenue un pôle d’attraction pour les artistes, et l’eau-forte s’est imposée comme technique en vogue pour saisir le visage d’une ville en évolution rapide.
Depuis les années 1980, Ken Lum crée des œuvres qui traitent de divisions et de déconnexions sociales en instillant un humour sarcastique dans sa critique poignante.
Le séjour d’Emily Carr en Bretagne en 1910–1911 s’est avéré une période décisive qui allait affranchir son art du traditionalisme pour le faire entrer dans l’expression moderniste.
Les peintures de Miller Brittain brossent un portrait fidèle de ce qu’était la vie quotidienne et l’état d’esprit des gens à Saint John, ville natale de l’artiste, dans les années 1930.
Vers 1880, Camille Pissarro produit une série d’estampes qui traduisent sa vision impressionniste et lui offrent une nouvelle technique pour exprimer ses idées.
En 1918, l’artiste moderniste canadien James Wilson Morrice se rend au front dans la France déchirée par le conflit pour documenter le lendemain des hostilités pour le Bureau canadien des archives de guerre.
Fasciné par l’impressionnisme qu’il découvre en voyageant en Europe entre 1905 et 1913, A. Y. Jackson s’interroge alors sur les effets picturaux de ce mouvement et sur l’utilisation de la couleur dans son...